Ventes de véhicules légers en baisse en février – AIER

– 3 mars 2021 Temps de lecture: 2 minutes

Les ventes de véhicules légers ont totalisé 15,7 millions en rythme annuel en février, en dessous du rythme de 16,6 millions en janvier et le deuxième mois des quatre derniers sous la fourchette de 16 à 18 millions. Les ventes unitaires ont plongé en mars et avril à 11,4 millions et 8,7 millions de taux annuels, respectivement (voir graphique). Le rythme des ventes en avril était le plus bas jamais enregistré depuis que cette série de données a commencé en 1976 et suit une série de 72 mois dans la fourchette de 16 à 18 millions de mars 2014 à février 2020.

En ventilant les ventes par origine d’assemblage, les ventes de véhicules nationaux ont chuté à 11,9 millions d’unités contre 12,8 millions en janvier (voir graphique), soit une baisse de 6,6%, tandis que les importations sont tombées à 3,7 millions contre 3,8 millions en janvier, soit une baisse de 2,9%. . La part intérieure s’est établie à 76,2 pour cent en février contre 76,8 en janvier, le plus bas depuis juin; hors chute liée à la pandémie, la part intérieure est la plus faible depuis mai 2018 (voir graphique).

Ventilées par taille de véhicule, les ventes de camions légers en février ont totalisé 12,3 millions par an contre 12,9 millions en janvier, soit une baisse de 5,0%, mais bien au-dessus du taux de 6,7 millions d’avril. Les ventes de voitures ont enregistré une forte baisse, tombant à un taux annuel de 3,4 contre 3,7 en janvier, soit une baisse de 8,1%.

La part des camions légers s’est établie à 78,3% en février, un nouveau record, dominant complètement la part des voitures de 21,7%. La part dominante des camions légers poursuit une tendance à long terme. Pas plus tard qu’en février 2013, la répartition entre les voitures et les camions légers (SUV et camionnettes) était à peu près égale, les deux segments se vendant environ 7,8 millions à un taux annuel.

Robert Hughes

Bob Hughes

Robert Hughes a rejoint l’AIER en 2013 après plus de 25 ans en recherche économique et financière à Wall Street. Bob était auparavant responsable de la stratégie actions mondiales pour Brown Brothers Harriman, où il a développé une stratégie d’investissement en actions combinant une analyse macro descendante avec des fondamentaux ascendants.

Avant BBH, Bob était stratège principal des actions pour State Street Global Markets, stratège économique principal chez Prudential Equity Group et économiste principal et analyste des marchés financiers pour Citicorp Investment Services. Bob est titulaire d’une maîtrise en économie de l’Université Fordham et d’un BS en commerce de l’Université Lehigh.

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